Depuis le 7 octobre, les familles des otages kidnappés à Gaza par les terroristes du Hamas traversent une épreuve d’une intensité inimaginable. Confrontées, jour après jour, à l’attente, à l’angoisse et à l’incertitude, certaines se retrouvent aujourd’hui en situation de détresse totale, incapables de reprendre une vie normale, ni même de subvenir à leurs besoins les plus essentiels.
Paralysées par l’obsession du retour de leurs proches, ces familles ne peuvent plus travailler ni envisager l’avenir. Isolées, psychologiquement fragilisées et souvent en grande précarité, elles ont un besoin vital d’accompagnement.

Dès les premières semaines, le FSJU Israël s’est tenu aux côtés de ces familles meurtries, en nouant un partenariat solide avec le Forum des familles d’otages – l’instance officielle qui les représente, les soutient, et porte leur voix auprès des institutions comme de l’opinion publique, en Israël et à l’international.
Parce que chaque otage compte, et parce que nous continuerons à soutenir ces familles jusqu’à ce que chaque otage retrouve la liberté et les siens – ou puisse, le cas échéant, être honoré et inhumé dignement auprès de ses proches – le FSJU Israël a décidé de renouveler son partenariat avec le Forum des familles d’otages pour une année supplémentaire afin de soutenir 40 % de ces familles qui sont en difficultés.

Cet engagement, vital et nécessaire, permet d’apporter à ces familles un soutien complet et personnalisé :

Dans le cadre de ce partenariat, des proches d’otages – et en particulier des frères et sœurs d’otages – ont pu participer à un voyage à Paris en mars 2024. Ce séjour a permis à ces familles de rencontrer des représentants de la communauté juive française ainsi que des jeunes des mouvements de jeunesse, avec qui elles ont pu échanger longuement, partageant leurs témoignages et leur combat pour faire revenir leurs proches détenus à Gaza depuis le 7 octobre.
Au-delà de ces rencontres bouleversantes, des moments de répit et de joie leur ont été offerts, avec une journée à Disneyland Paris et un tour de la capitale en bateau-mouche, permettant à ces familles meurtries de vivre, ne serait-ce qu’un instant, loin du poids de l’angoisse et de la douleur.